Mégalodon : le roi des requins sera de retour au cinéma

Dans le film « En eaux très troubles » réalisé par Ben Wheatley, Jason Statham se retrouve face à un mégalodon, un requin préhistorique géant, qui menace de le dévorer. Ce n’est pas la première fois que ce monstre marin a envahi l’écran, et il a toujours fasciné les cinéphiles. Les mégalodons, surnommés les « Megs » sont les impressionnants ancêtres de Bruce, le fameux requin des Dents de la mer.

Longtemps, ces créatures marines effrayantes ont inspiré des films improbables, souvent classées comme des séries Z. En 2004, « Megalodon » de Pat Corbitt mettait en scène le requin géant s’attaquant aux employés d’une plateforme pétrolière, dans une ambiance à la fois rigolote et terrifiante.

Crédit image : Sergiodlarosa via Wikimedia Commons / Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International (CC BY-SA 4.0)

Renseignez-vous sur l’apparition du mégalodons dans les films

En 2018, « Megalodon » de James Thomas a vu le monstre croquer Michael Madsen et un bateau de l’armée américaine. Le requin géant a également fait des apparitions hilarantes dans des films tels que « Shark Attack 3 », « Megalodon » de David Worth, avec des effets spéciaux peu diffusés, mais qui ont provoqué un engouement sur YouTube. Il a également affronté un gigantesque poulpe dans « Mega Shark vs Giant Octopus » de Jack Perez, dévorant un avion en plein vol et le Golden Gate de San Francisco.

Les mégalodons ont continué à terroriser le grand écran en se déclinant sous différentes formes, notamment en tant que « Mosasaure » dans Jurassic World, devenant ainsi encore plus imposants et menaçant.

Ces monstres préhistoriques ne manquent pas de charme, notamment avec leur sourire impressionnant rempli de dents acérées. Ils sont devenus de véritables stars de cinéma, ravissant les spectateurs avec leur appétit vorace et leur taille gigantesque. En eaux très troubles ne fait que perpétuer cette fascination cinématographique pour les mégalodons, offrant un nouveau festin sanglant aux amateurs de frissons.

Film : focus sur « Showing Up » de Kelly Reichardt

« Showing Up », réalisé par Kelly Reichardt, est un film qui nous emmène dans une introspection captivante de l’intimité humaine. Au cœur de cette histoire se trouve Lizzy, une sculptrice vivant à Portland, dont l’exposition approche à grands pas. Pourtant, son quotidien est troublé par un ensemble de facteurs matériels et familiaux. Alors qu’elle se retrouve confrontée à ses angoisses, un événement inattendu survient : un pigeon blessé qu’elle relâche, et que Jo, sa voisine artiste, recueille et lui confie pour la journée.

Kelly Reichardt utilise avec brio un rythme posé pour plonger le spectateur dans l’intimité de Lizzy, interprétée de manière magistrale par Michelle Williams. Son jeu subtil révèle la complexité émotionnelle du personnage, ajoutant une profondeur captivante à l’histoire. Hong Chau incarne également Jo avec une délicatesse touchante, créant une dynamique émouvante entre les deux femmes.

La mise en scène minutieuse de la réalisatrice renforce l’atmosphère évocatrice du film. Chaque image, que ce soit les sculptures de Lizzy ou les décors environnants, est choisie avec soin pour transmettre des significations profondes. Ainsi, le spectateur est invité à interpréter et à ressentir les émotions sous-jacentes des personnages.

Le scénario subtil offre une exploration délicate des émotions humaines. Les sentiments des personnages ne sont pas toujours explicités, laissant place à l’interprétation du public. Cette approche confiante souligne la maîtrise de Reichardt en tant que conteuse cinématographique.

Le pigeon blessé ajoute une dimension symbolique à l’histoire, reflétant les tourments intérieurs de Lizzy. Il devient le miroir de ses propres peurs et l’incite à prendre des décisions cruciales. Ce détail habilement inséré ajoute une profondeur supplémentaire à l’intrigue. « Showing Up » plaira aux cinéphiles dans l’âme.

Michelle Williams joue dans « Showing Up »

Crédit photo : David Shankbone/Attribution 2.0 Générique (CC BY 2.0)

Films : Quentin Dupieux est à la réalisation de « Yannick »

Quentin Dupieux, connu sous le pseudonyme de Mr. Oizo, est bien plus qu’un artiste de la musique électronique. Il s’est fait un nom en tant que réalisateur, créant un univers singulier où la violence surréaliste se mêle à l’absurde mélancolique. Avec onze films à son actif en seulement quinze ans, il s’est imposé comme un artiste incontournable du paysage audiovisuel français.

Après avoir surpris les spectateurs avec ses films décalés tels que « Le Daim » avec Jean Dujardin ou encore « Mandibules » avec Grégoire Ludig et David Marsais, Quentin Dupieux revient avec une nouvelle proposition cinématographique intitulée « Yannick ». Le réalisateur nous plonge cette fois dans un huis clos théâtral, où les limites du méta sont portées à leur paroxysme. Le spectateur est témoin d’une situation absurde, une « prise d’otage » d’une pièce de théâtre par un individu mécontent, refusant de se soumettre à la norme.

Dans « Yannick », le cinéaste s’entoure d’un casting talentueux. Pio Marmaï, Raphaël Quenard et Blanche Gardin incarnent avec brio les personnages de cette histoire délirante. Le réalisateur, toujours à la recherche de l’alchimie parfaite entre ses acteurs et son univers cinématographique singulier, semble avoir trouvé le trio idéal pour donner vie à ses idées originales.

La filmographie de Quentin Dupieux est une invitation à l’imagination débridée et à la remise en question des conventions. Chaque nouveau projet est un voyage imprévisible, où l’absurde et l’inattendu se rencontrent. Rendez-vous le 2 août 2023 en France pour découvrir cette expérience unique sur grand écran.

Quentin Dupieux revient avec « Yannick »

Crédit photo : Georges Biard/ Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions 3.0 non transposé (CC BY-SA 3.0)

Films : Nicolas Cage joue dans « Sympathy for the Devil »

Nicolas Cage est indéniablement l’un des acteurs les plus fascinants de sa génération. Avec plus d’une centaine de films en 40 ans de carrière, il a connu un parcours singulier, oscillant entre collaborations prestigieuses et productions de série Z visant à subvenir à ses dépenses faramineuses, tout en ayant collaboré avec des réalisateurs tels que John Woo et Michael Bay.

Célèbre pour ses moments de perte de contrôle et son penchant pour le cabotinage, l’interprète a récemment entamé une nouvelle étape de sa carrière. Il embrasse pleinement sa personnalité excentrique. Alors qu’il vient tout juste d’incarner le comte Dracula dans le sombre « Renfield », l’acteur culte fait déjà son retour dans la bande-annonce de « Sympathy for the Devil », promettant un nouveau spectacle démentiel.

L’histoire suit un homme (interprété par Joel Kinnaman) qui se dépêche de rejoindre sa femme en plein processus d’accouchement à l’hôpital. Cependant, il se retrouve contraint de prendre un passager bien particulier, interprété par l’inimitable star dont il est question. Ce voyage en voiture sera le point de départ d’une série de manipulations et de violences, mettant en péril la santé physique et mentale des deux hommes.

« Sympathy for the Devil » semble être une version déjantée du film « Collateral » de Michael Mann, avec Nicolas Cage qui, une fois de plus, semble s’être surpassé pour offrir une performance inoubliable. Impossible de ne pas être fasciné par le mélange de fascination et de rires que cela provoque. Joel Kinnaman (vu dans « The Suicide Squad ») se retrouve relégué au second plan, laissant la scène à son partenaire avide d’attention. Le titre sera disponible dès le 28 juillet aux États-Unis.

Nicolas Cage revient dans un autre film

Crédit photo : nicolas genin/ Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions 2.0 Générique (CC BY-SA 2.0)

Les films et les séries à ne pas manquer en ce début de 2023

Parmi les différents moyens qu’il y a pour se divertir, il y a notamment le visionnage de films et de séries. Ceux qui adorent se prélasser dans leur canapé tout en regardant des productions devant le petit écran auront de quoi se mettre sous la dent en ce début d’année. Idem pour ce qui est des cinéphiles dans l’âme.

De prime abord, il y a « Aftersun », qui vient de débarquer dans les salles obscures. Il s’agit de la première réalisation de la cinéaste écossaise Charlotte Wells, qui pour info n’a que 35 ans. Grâce à son œuvre cinématographique, Paul Mescal, qui fait partie du casting, a pu être nominé à l’Oscar du meilleur acteur pour la première fois. En sus, en ce qui concerne Netflix, « Bill Russell : légende de la NBA » intégrera son catalogue le 8 février. C’est un film-documentaire qui porte sur une star du basketball américain. Il revient sur le parcours de Bill Russell, qui a laissé une trace indélébile dans ce sport. Enfin, pour ceux qui ont plutôt un faible pour les séries, sachez que la première partie de la saison 4 de « You » sera disponible sur la plateforme de streaming au N rouge dès le 9 février. Penn Badgley sera donc de retour dans la peau de Joe.

Penn Badgley est de retour avec la saison 4 de « You »

Crédit photo : Mark Kari/Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions 2.0 Générique (CC BY-SA 2.0)

Films : la saga « Conjuring » est loin d’être terminée

Les films « Conjuring » ont cartonné dès leur entrée dans l’univers du septième art. Pour rappel, la sortie du premier volet remonte à 2013. Le groupe de production Summit Entertainment s’était offert une intrigue concoctée par Tony DeRosa-Grund. L’histoire est basée sur les cas réels d’Ed et Lorraine Warren, qui étaient des chasseurs de fantômes on ne peut plus connus au cours des années 70.

Compte tenu du succès du long-métrage au box-office, le réalisateur James Wan entame le tournage d’une suite. Dans la foulée, un spin-off intitulé « Annabelle » intègre le monde du cinéma. Il ne faut pas non plus oublier « La Nonne », qui est disponible depuis 2018. En ce qui concerne les nouveaux projets qui ne devraient pas tarder à voir le jour, il y a nommément « La Nonne 2 » et « Conjuring 4 ». Dans ce dernier, les spectateurs retrouveront le couple Warren. Par ailleurs, alors que James Wan se livrait au média Collider dans le cadre d’un entretien, il a laissé entendre qu’il y aura un autre film qui devrait débarquer après le quatrième opus.

Enfin, alors que certains fans se languissait de l’arrivée de « The Crooked Man », ce spin-off ne sera finalement pas produit. Le producteur Peter Safran évoque cependant la création d’une série axée sur « Conjuring ».

James Wan a plein d’idées pour « Conjuring »

Crédit photo : MTV International/ Attribution 3.0 non transposé (CC BY 3.0)

Films : un nouveau volet de « Rush Hour » pourrait sortir

Chers amateurs de films, si vous aviez été séduit par « Rush Hour », sachez que la sortie d’un quatrième volet n’est pas impossible. Eh oui, Chris Tucker, qui incarne l’un des protagonistes de la saga, a partagé une publication sur Instagram où on le voit en compagnie de Jackie Chan, montrant tous les deux quatre doigts. Cela semble être un indice à prendre en considération.

Il est bon de rappeler que la franchise originelle avait fait un carton lors de son lancement dans les salles obscures. Elle a d’ailleurs amassé 244 386 864 de dollars de recettes au box-office. Suivant un tel succès, deux autres opus ont été produits. Comme on ne change pas une équipe qui gagne, Brett Ratner, qui se trouvait derrière la caméra pour « Rush Hour », a été encore une fois retenu en vue de s’occuper de la réalisation.

Pour revenir à une éventuelle sortie du long-métrage dont il est question, Jackie Chan s’est exprimé à ce sujet dans le cadre du Sea Film Festival, qui s’est tenu en Arabie Saoudite. Il a laissé entendre que les discussions vont bon train pour que ce projet puisse voir le jour. Il ne reste plus qu’à attendre une confirmation de la part du réalisateur.

Jackie Chan a laissé des indices concernant « Rush Hour »

Crédit photo : Ruslans Antropovs/ Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions 3.0 non transposé (CC BY-SA 3.0)

Les films à ne pas manquer en ce mois de décembre

Les cinéphiles sont gâtés en ce moment. C’est le moins qu’on puisse dire. Eh oui, sorties en VOD et projections dans les salles obscures s’enchaînent cette année, au contraire de la période où le coronavirus empêchait le secteur des films de tourner à plein régime.

L’un des longs-métrages qui ont la cote en ce moment n’est autre que « Bullet Train ». Ce dernier dispose d’un casting de choc, avec nommément Brad Pitt, Joey King et Sandra Bullock. C’est l’une des raisons pour lesquelles il a pu compter 1,5 million d’entrées dans les salles de cinéma à son actif.

Toujours en ce qui concerne les productions qui cartonnent, retrouvez « Nope », de Jordan Peele. Il est bon de savoir que pas moins de 512 000 individus ont vu ce titre sur le grand écran. Cela démontre que les friands de thrillers horrifiques étaient ravis de pouvoir se délecter d’une autre de ses œuvres, après « Get Out » et « Us ».

Pour clôturer cette liste, zoom sur « Rumba la vie », de Franck Dubosc. Il est utile de préciser que ce film sortira le 24 décembre 2022. Le réalisateur et acteur y incarne Tony, un conducteur d’autobus scolaire qui essaie de réparer ses erreurs. Ne manquez pas cette comédie.

Brad Pitt fait partie du casting de « Bullet Train »

Crédit photo : Paul Bird/ Attribution 2.0 Générique (CC BY 2.0)

Films : zoom sur trois titres à voir à l’heure actuelle

Vous avez envie de visionner des films pour vous divertir durant votre temps libre ? Dans ce cas, notre sélection du jour devrait vous intéresser. Vous découvrirez de quels longs-métrages il s’agit dans le reste de ce billet.

Pour commencer, il y a « Rumba la vie », qui est une comédie de Franck Dubosc. L’histoire tourne autour de Tony. Cet homme, qui travaille comme chauffeur d’autobus scolaire, ne fréquente personne et reste tout seul dans son coin. Il a quitté sa femme et son enfant il y a vingt ans. Alors qu’il souffre d’un malaise cardiaque, il arrive à rejoindre un cours de danse, malgré son état. C’est sa fille, qu’il n’a jamais côtoyée, qui y dirige les classes. Il espère rattraper le temps perdu avec elle.

Ensuite, retrouvez « Trois mille ans à t’attendre », de George Miller. Cette production de type fantastique porte sur Alithea Binnie. Celle-ci, qui est comblée par son existence actuelle, ne peut s’empêcher de faire preuve de scepticisme à l’égard du monde. Elle finit par tomber sur un génie, qui lui donne droit à trois vœux. Ainsi, il obtiendra la liberté.

Pour terminer, sachez que « Les Volets verts », réalisé par Jean Becker, pourrait également vous plaire. Cette œuvre cinématographique est centrée sur Jules Maugin.

Jean Becker est le réalisateur de « Les Volets verts »

Crédit photo : Eva Rinaldi/Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions 2.0 Générique (CC BY-SA 2.0)

Films : découvrez « Prey » et « The Gray Man »

Vous êtes un amateur de films et vous comptez organiser une soirée ciné durant le weekend ? Si tel est le cas, vous êtes invité à découvrir deux longs-métrages qui sont sortis en cette année de 2022.

Le premier se nomme « Prey ». Il s’agit d’une réalisation de Dan Trachtenberg qui vous transportera dans le monde de la science-fiction pendant près d’une heure et trente-neuf minutes. Le récit vous emmènera dans le passé, notamment trois siècles auparavant. Vous rencontrerez Naru, qui vit dans le territoire des Comanches. Étant une grande guerrière, elle met un point d’honneur à assurer la protection de tous les membres de sa tribu. Alors qu’elle se lance à la poursuite d’une proie, elle ne tardera pas à réaliser que c’est en fait un prédateur extraterrestre qui regorge de ressources.

Le second qui pourrait vous intéresser n’est autre que « The Gray Man ». Dans ce long-métrage réalisé par Anthony et Joe Russo, Court Gentry (incarné par Ryan Gosling) est un ex-membre de la CIA qui s’est reconverti en tueur à gages. Malgré cela, il ne s’engage qu’à exécuter des criminels. Il se retrouvera plongé au cœur d’un complot et toute une multitude d’organisations criminelles voudra lui faire la peau, y compris son ancien employeur. Bon visionnage !

Ryan Gosling joue dans « The Gray Man »

Crédit photo : Gage Skidmore/ Attribution – Partage dans les Mêmes Conditions 2.0 Générique (CC BY-SA 2.0)